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30 janvier 2014

Vogelsang ou la mélancolie du vampire

littérature,roman,vampire

 

Prix Indications du meilleur roman 2012.

 

"Un récit d’une tristesse superbe et d’une nostalgie infinie, en parfaite adéquation avec une écriture fine et racée sur fond de chronique douce-amère d’une élite face à son déclin inexorable."

 Superbe papier du cher Pierric Guittaut :

http://pierric-guittaut.blogspot.fr/2015/09/vogelsang-la-melancolie-du-vampire.html

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« Une rare intensité. (...) l'ouvrage conjugue la force et l'originalité de l'argument avec une langue aux inflexions magiques. » 

David Mata, Eléments

 

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« Laszlo Vogelsang, vampire mélomane raffiné, sévit à Bruxelles. Il se parfume chez Caron, lit Platon et Kleist, admire Mario Praz le vertigineux érudit dont personne n'ose prononcer le nom à Rome, pleure en écoutant Alfred Deller chanter Purcell, Laszlo, esthète délicat et solitaire avec qui on partagerait volontiers une coupe de sang non frelaté en écoutant Scarlatti ou Dowland! »

Gérard Oberlé, Lire, juillet 2012.

 

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Belle et sensible recension sur le site de l'Association des Ecrivains Belges, sous la plume de J. Bodson:

http://www.ecrivainsbelges.be/index.php?option=com_conten...

 

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« On est plus proche des écrits de Jean Ray ou de Leo Perutz que de la sage T***... On ne s'en plaindra pas: l'auteur d'Aux Armes de Bruxelles n'écrit pas pour les adolescents attardés (...) Il nous offre un grand roman, (...) occulte et inquiétant.»

Bruno Favrit.

 

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« Ce que Christopher Gérard raconte, avec un raffinement très XIXème voire XVIIIème siècle, quelques clins d'oeil amusés et une plongée passionnante dans le terrain de chasse inhabituel qu'est la Bruxelles nocturne, c'est le pesant et profond sentiment de mélancolie qui envahit petit à petit Vogelsang ».

Jean-Claude Vantroyen, Le Soir du 15 juin 2012

http://archives.lesoir.be/la-musique-nostalgique-du-saign...

 

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« Raffiné élégant, le vampire de Christopher Gérard, le docteur Laszlo Vogelsang, spécialiste en hématologie comme il se doit, est une créature d'Ancien Régime qui a les manières du prince de Ligne. (...) Entre E.T.A. Hoffmann, Baudelaire et sir Arthur Conan Doyle »

François Bousquet, Le Spectacle du Monde, juin 2012.

http://www.lespectacledumonde.fr/index.php?option=com_con...

 

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«Laissant courir à sa guise une imagination subversive, Christopher Gérard poursuit avec ironie et élégance un récit ludique qui se déploie dans un décor étonnant (…) Ce roman fort réussi qui commence par un divertissement brillant se termine comme un roman initiatique, dans la tradition romantique du héros ténébreux à la recherche de lui-même». 

Anne Richter, Le Carnet et les Instants, juin 2012

 

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 Une lettre de Michel Déon à propos de  Vogelsang: « votre machination d'un fantôme tourne le dos à ce que je sais de vous. Bravement, vous n'hésitez pas à traiter un sujet légendaire au risque de vous brûler. Personnellement, je trouve cela très bien et construit avec rigueur (on ne peine pas une seconde à le lire), et avec un sens de l'horreur qui, d'ailleurs, réflexion faite, a toujours été là dans vos livres, mais bien tenu en bride. Là, franchement, j'ai eu... peur.»

Le 5 juin 2012

 

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L’intrigue est élégante, qui commence in medias res, où présent et passé s’instruisent, où d’habiles silences du récit ajoutent à l’étrangeté. Loin des Carpates et du gothique, Vogelsang ou la mélancolie du vampire renouvelle le genre avec style et pertinence. »

Mon confrère et néanmoins ami Arnaud Bordes, grand amateur de littérature fin de siècle:

 

http://www.parutions.com/index.php?pid=1&rid=1&sr...

 

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Belle et pertinente critique du roman sur le site non conformiste Causeur sous la plume d'un jeune talent de l'équipe, Daoud Boughezala:

 

http://www.causeur.fr/vogelsang-un-vampire-humain-trop-hu...

 

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« Conte de l'intime sang pour sang inspiré, une écriture belle et exigeante, raffinement et élégance, une qualité de style incomparable qui fait de l'auteur un écrivain à part entière, contre-courant plaisant - phrases antiques pour une modernité désenchantée -, empreint d'ironie, le tout saupoudré de références, de non dits presque dits et de jolies allusions, la sauce gérardaise prend, menant à la réflexion; l'on se met à aimer Laszlo, sa mélancolie semblable aux variations Goldberg, sa sensibilité et sa sourde inquiétude, son malaise grandissant et sa détresse lancinante: "Pour Laszlo, le piano l'aidait à voguer sur les flots du temps qui tout dévore. Et Scarlatti embellissait ses rêves de touches allègres, graves cependant car le compositeur feint la légèreté pour mieux résister à la douleur de l'exil. »

 

 

Thierry-Marie Delaunois sur

http://www.thierry-mariedelaunois.com/pages/accueil/lectu...

 

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 « Les grandes villes du monde ont "leur" écrivain. Dublin, New-York, Berlin, Le Caire pour ne citer qu’elles. La capitale de l’Europe a longtemps été boudée par les romanciers qui préfèrent situer outre-Quiévrain leurs inventions romanesques.De livre en livre Christopher Gérard est peut-être en train de devenir l’écrivain de Bruxelles, avec un "E" majuscule. »

 

Bel entretien radiophonique avec Edmond Morel ce 16 mai 2012:

 

http://www.demandezleprogramme.be/Ecoutez-Christopher-Ger...

 

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« Monsieur Gérard a la plume alerte. Son vampire a la classe de Christopher Lee et l'appétit de Tom Cruise. Nuit canine, nuit de Chine ! »

Service littéraire, mai 2012

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« Jouant avec une habilité consommée, Christopher Gérard multiplie les références, les sous-entendus, les allusions perfides et perverses. Les fastes d’enfer et un brin de bouffonnerie font de ce roman un régal. »

Alfred Eibel, Valeurs actuelles, 10 mai 2012.

 

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"Ce conte entre cannibalisme et dandysme ne transpose pas seulement le mythe du vampire dans les rues de Bruxelles, il le recrée par l’imagination rocambolesque du romancier comme par son regard sur le monde actuel : la fin d’une époque, la nostalgie d’une culture qui s’enfonce dans l’oubli comme fondent les glaces de l’Arctique, le goût des mythes dans lesquels les hommes se sont projetés de la forêt celtique aux rives du Gange. Cela se lit, me semble-t-il, comme en filigrane de ce récit pas triste pour autant, marbré d’ironie, tramé d’inventions narquoises et de sourires en coin. Et pourtant, si la mélancolie du vampire était aussi celle de Christopher Gérard ? "

Jacques Franck, La Libre Belgique, 7 mai 2012:

 

http://www.lalibre.be/culture/livres/article/736442/un-va...

 

et entretien avec l'auteur sur:

 

http://www.vampirisme.com/interview/gerard-interview-voge...

 

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 Le roman a été évoqué dans l'émission de J.-P. Hautier, "Bonjour quand même" le mardi 8 mai à 9h

http://www.rtbf.be/radio/player/lapremiere/podcasts?c=LP-...

 

Il fait aussi l'objet d'une chronique dans l'émission 50 degrés nord diffusée le jeudi 10 mai à 19h sur ARTE Belgique, et qui peut être écoutée ici: http://www.rtbf.be/video/v_50-degres-nord?id=1728543&... 

 

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 « Vogelsang ou la mélancolie du vampire se lit à cette allure dont on découvre les textes inattendus : celle de la délectation empressée. (…) Sans jamais sombrer dans le roman de genre, Christopher Gérard revisite avec panache la veine fantastique en lui prêtant une dimension authentiquement décalée. (…) A l’aurore d’un nouveau millénaire, Christopher Gérard persiste à manier la plume fin-de-siècle – une audace où il excelle. »

Frédéric Saenen, Le Magazine des Livres, avril 2012

 

Pour lire l'article complet: http://www.lagedhomme.com/boutique/fiche_produit.cfm?ref=...

 

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Mon vampire à moi est mélomane, musicien et quelque peu dandy. Il vit et tue à Bruxelles dans le souvenir du Paris de Louis-Philippe, du Moscou d'avant la Révolution, du Vermont des années 60. Le regard détaché - avant tout celui d’un prédateur - qu'il jette sur l'homme moderne comme sur notre époque se révèle singulier. Sa rencontre avec une humaine, Penthésilée, lui fera découvrir les affres de l’amour et scellera leur destin.

Vogelsang peut se lire comme un conte philosophique sur l'amour, la mémoire et la mort. J’y vois aussi une tragédie d'où l'humour noir n'est pas absent.  Le mythe du vampire s’y trouve subverti, traité sur un mode parfois satirique afin de susciter une réflexion sur la fuite du temps, l'évolution de l'humanité, les pouvoirs cathartiques de la musique (chaque chapitre se termine par un intermède musical symbolique où apparaissent e. a. Richter, Gould et Lipatti).

La psychologie de mon prédateur - complexe et fascinante - renouvelle  l'image du vampire tout en conservant des archétypes du récit vampirique, avec des clins d'œil cinématographique (de Nosferatu à Morse) et littéraires (de Stoker à Rice) qui combleront les amateurs. 

 

 

 Pour commander :

 

https://www.lagedhomme.com/ouvrages/christopher+gerard/vogelsang+ou+la+melancolie+du+vampire/3817

 

 

Écrit par Archaïon dans Opera omnia | Lien permanent | Tags : littérature, roman, vampire |  Facebook | |  Imprimer |

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