08 décembre 2010
Porte Louise
Sur mon roman
Porte Louise
la chronique sensible publiée le 7 décembre sur le site:
http://www.e-litterature.net/publier2/spip/spip.php?artic...
et
l'article de Christian Brosio dans le Spectacle du Monde
http://www.lespectacledumonde.fr/index.php?option=com_con...
et celui de Joseph Duhamel dans Le Carnet et les Instants
http://www.promotiondeslettres.cfwb.be/index.php?id=6904
Après trente-huit ans d'absence, Louise revient dans sa ville natale, Bruxelles, pour mener une enquête sur la disparition de son père, Charlie, séduisant Irlandais mystérieusement assassiné alors qu'elle n'était qu'une enfant.Au cours de ses recherches dans la capitale, Louise découvre les multiples facettes d'une ville qu'elle croyait connaître et nous entraîne à sa suite d'endroits disparus en lieux bien réels où l'on se régale.
En quête d'une vérité qui se dérobe sans cesse, Louise rencontre des interlocuteurs aussi variés qu'attachants: un commissaire de police, tombé amoureux d'elle à douze ans; Ingrid, la secrétaire et confidente de Charlie, qui s'est éprise de lui à Berlin en 1943; une avocate branchée à la vie compliquée; un espion français, libertin et amateur d'art; Lord Pakenham, l'ancien chef de l'Intelligence Service, qui a bien connu Charlie à Lisbonne pendant la guerre.
A une Louise de plus en plus désemparée, chacun dévoile à sa manière un aspect de la vie complexe de Charlie et propose, non sans arrière-pensées, son hypothèse sur la mort d'un homme insaisissable. Les continuels allers et retours entre Bruxelles et Dublin des années soixante à aujourd'hui, le balancement permanent entre humour, nostalgie, suspense et gourmandise constituent une mosaïque pleine de fantaisie.
Porte Louise est une sorte de polar, de roman d’espionnage. Plus encore, c’est le roman du souvenir et de la réminiscence, l’histoire d’une femme émouvante, lancée dans une quête progressant par cercles concentriques jusqu’au coup de théâtre final.
http://www.lagedhomme.com/boutique/fiche_produit.cfm?ref=...
"Porte Louise est un roman d’espionnage plus proche de ceux de John Le Carré ou de Vladimir Volkoff que de ceux de Gérard de Villiers ou de Ian Fleming. Mais en le lisant c’est surtout au film d’Éric Rohmer, Triple Agent, que nous avons songé, éprouvant le même plaisir à la lecture de l’un qu’au visionnage de l’autre. Comme l’écriture cinématographique de Rohmer, la langue de Christopher Gérard est élégante, concise et précise. Mais il écrit aussi avec gourmandise lorsqu’il évoque une dégustation de charcuterie du Sud-Ouest arrosée de « deux fillettes de Chinon frais, légèrement fumé […] doux comme du lait »,"
D. Marc, sur le site Polemia
http://www.polemia.com/article.php?id=3173
« Christopher Gérard, infatigable piéton de Bruxelles, infatigable lecteur, infatigable fouineur, excentrique rêveur. »
Jacques Franck, La Libre Belgique
http://www.lalibre.be/culture/livres/article/569231/porte...
Un entretien radiophonique sur Porte Louise:
http://www.demandezleprogramme.be/Bruxelles-a-un-nouveau-...
Superbe chronique de l'écrivain et éditeur Arnaud Bordes:
"Aussi Porte Louise est-il un roman qui sans cesse balance entre le Contingent et le Nécessaire, autrement dit entre le monde changeant des apparences et le monde invariant de l'Etre.
C'est aussi un style, un art de vivre, fait de désinvolture et de profondeur, d'élégance réactionnaire et de gourmandise, qui pourrait être de quelque littéraire hussard de naguère.
http://www.lavielitteraire.fr/index.php/porte-louise
«Etrange Bruxelles que celui de Christopher Gérard, déglingué, improbable, sans conteste attachant. Chaque page respire l'allégresse d'une histoire menée allegro vivace,
sinon allegro con brio»
Alfred Eibel, Valeurs actuelles
http://www.valeursactuelles.com/culture/guide-livres/guid...
"La visite croisée des univers du "troisième homme" et de Valery Larbaud, en somme !"
Christian Dedet
« Votre intrigue est passionnante, rondement menée et…plausible ! »
Pierre Joannon
"Sa jubilation textuelle, votre façon de toucher la cible, ce vocabulaire jamais gratuit..."
Guy Vaes
"Un jeu diabolique (...) un roman plus proche de la réalité
que toutes les compilations des historiens."
Michel Déon
"Alacrité est le terme qui me vient à l'esprit,
celui qu'impose la succulence de vos pages."
David Mata
"A lire d'un trait, en en s'interrompant
que pour noter les bonnes adresses bruxelloises."
Alain Lefebvre, Juliette et Victor
Écrit par Archaïon dans Opera omnia | Lien permanent | Tags : littérature, roman, bruxelles | Facebook | | Imprimer |
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