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        La Legge dell’odio, titre original de l’épopée d’A. Garlini, illustre mieux le sujet de cette fresque de l’Italie des années de plomb que celui choisi par Gallimard, tant le personnage principal, Stefano Guerra, incarne un avatar d’Arès aux noires prunelles, le terrible dieu de la guerre. Les Œufs du dragon aurait aussi convenu…   Etudiant à Rome en 1968, Guerra appartient par tradition familiale à la droite la plus incandescente, plus proche en réalité des « Chinois » de l’ultragauche et d’autres anars que des bourgeois de la Démocratie...

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